Interview de Léa, étudiante chez Nicéphore !
Quel est votre parcours initial ?
Mon métier exercé avant cette formation était réceptionniste dans des hôtels. J’ai effectué un apprentissage dans ce domaine en Suisse il y a de ça 6 ans.
Pourquoi avez-vous décidé de suivre une formation à distance en photographie chez Nicéphore ?
Cette formation est une reconversion professionnelle pour ma part car je me suis aperçue que l’hôtellerie ne me correspondait pas. Cela me donne enfin la chance de faire un métier créatif, ce dont j’ai toujours rêvé mais n’ai jamais eu le courage d’entreprendre auparavant. Pourquoi ai-je opté pour une formation à distance plutôt que dans une école en présentiel ? Simplement parce que le format « classique » ne me correspondait pas ! Lorsque je me suis renseignée sur Nicéphore, j’ai tout de suite voulu me lancer. Je ne pensais pas pouvoir trouver une formation de photographe à distance et le concept m’a convaincue.
De quelle façon organisez-vous votre travail à distance ?
Je réalise un planning des tâches à réaliser chaque semaine, car j’ai besoin d’être très organisée pour étudier à distance. J’ai aussi trouvé mon propre rythme : je commence par lire la théorie dans les classeurs, puis j’effectue des résumés du cours, et je passe ensuite à la pratique, via mes prises de vues. Le but pour moi est de pratiquer énormément et réaliser des séries photos personnelles, en parallèle des devoirs à rendre, afin de progresser un maximum et bien assimiler la théorie des cours.
Que vous a apporté jusqu’ici cette formation ?
Principalement de la confiance en mes capacités à faire de la photographie mon métier. La formation m’a tellement motivée que j’ai commencé à lancer mon activité d’indépendante en tant que photographe. La plus belle découverte a été la photo de rue, aussi surprenant que cela puisse être pour quelqu’un d’introverti.
Pourriez-vous nous citer un photographe ou un style d’image qui vous inspire particulièrement ?
Il y a beaucoup de photographes qui m’inspirent mais pour en citer que quelques-uns je dirai : les photos de rue de Vivian Meier, les portraits d’Annie Leibovitz et le style unique de Paolo Roversi.
Pouvez-vous partager avec nous une série photo que vous avez réalisée pour la formation ?
Voici mon travail N°15 sur les modes priorité vitesse et ouverture. J’ai effectué ce travail sur le thème de l’eau. L’inspiration était mon admiration pour la pluie et l’eau…comme un poème dédié à l’eau. Cette série a été très intéressante à réaliser, c’était passionnant de jouer avec la texture, la brillance et le mouvement de cette matière.
Ci-dessus, Travail N°15 ©Léa Pantet
Y a t-il un travail en particulier qui vous a fait sortir de votre zone de confort et pourquoi ?
Les portraits de rue pour le travail N°9, car il a fallu aller vers les gens et leur demander si je pouvais les prendre en photo. Jusqu’à ce moment-là, je faisais des photos de rue sans demander la permission aux passants. J’ai accosté des passants que je repérais en avance en les observant de loin. Finalement et contrairement à ce que je craignais, je n’ai pas reçu autant de refus que je pensais avant de réaliser ce travail.
Ci-dessus, Extrait du Travail N°9 ©Léa Pantet
Quelle est l’image dont vous êtes la plus fière, réalisée pour un travail Nicéphore ? Pourquoi ?
La photo de produit réalisée pour le travail N°10 sur la matière. Le sujet que j’avais choisi pour cette série était le sucre. Le mouvement du sucre qui tombe, la simplicité de cette composition, et la manière dont le sucre brille me captive.
Ci-dessus, Extrait du Travail N°10 ©Léa Pantet
Après cette formation avez-vous une idée du domaine dans lequel vous souhaiteriez exercer en tant que photographe ?
J’aimerais me tourner vers les portraits et photos de produits pour des entrepreneurs/ses. Peut-être un jour faire une exposition avec une série de photos de rue, cela me plairait aussi.
Un mot pour les futurs étudiants qui hésiteraient à se lancer dans notre formation à distance en photographie ?
Il n’est jamais trop tard pour se former à un métier qui vous passionne !
